la redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière - sara favriau

la redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière

 2016 – Exhibition view, solo show – la redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière (To sum up, repetition does not delight in singular reiteration) – Palais de Tokyo, Paris, F.

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©Eric Morin

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©Eric Morin

View of the artworks : Charlotte Charbonnel Fanny MichaëlisCécile Beau – Pia Ronde – Mijin Kim Jérémie Paul Solenne Capmas – Nathalie Régior – Charles Henry Fertin –Yasmina Benabderrahmane – Benoît Piéron – Marine Class

Artists invited to exhibit inside the huts for the duration of the exhibition : Fabien Saleil & Pia Rondé – Marine Class – Charles Henry Fertin – Jean-Michel Alberola

2 session with artists invited to exhibit inside the huts, curated by : 1- Sara Favriau / 2- Cécile Welker

// Session 1 – Curator : Sara Favriau // Artists : Julie Abravanel – Cécile Beau – Yasmina Benabderrahmane – Solenne Capmas – Charlotte Charbonnel – Coraline de Chiara – Mijin Kim – Fanny Michaëlis – Jérémie Paul – Benoît Piéron – Nathalie Régior- Pia Ronde // Session 2 – Curator : Cécile Welker // Artists : Lyes Hammadouche – Tomek Jarolim – Quentin Lefranc – Cyprien Parvex de Collombey

(english below)

la redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière est une installation composée de 5 sculptures-cabanes, comme des sortes de white cubes primitifs, ces cabanes ont accueilli des oeuvres de différentes disciplines (BD, Costumes, Perruques, écriture, arts plastiques) ; c’est un travail autour de l’extérieur et de l’intérieur de l’oeuvre. La sculpture n’est pas ici seulement un volume, elle est aussi un vide prêt à recevoir. Tandis que leur facture rappelle les techniques ancestrales de sculpture, leurs formes cubiques évoquent les espaces d’exposition contemporains. Des galeries blanches et vides censées permettre l’autonomie de l’oeuvre d’art exposée. Se crée, à l’inverse, une interdépendance entre l’oeuvre et son support.Ainsi, l’installation est à la fois une sculpture monumentale et une série de socles et de cimaises, une oeuvre d’art tout autant que le support d’une exposition / La démarche consiste aussi, à transformer une invitation personnelle en une invitation collective, pour ouvrir les champs de la création à d’autres domaines que celui des arts plastiques. Cette posture, de fait, questionne, la démarche curatoriale et par là celle des champs de de la création ; une transdisciplinarité collaborative en somme, que je poursuis toujours dans mon travail – Douglas, dimensions variables.

// English

la redite en somme, ne s’amuse pas de sa répétition singulière is an installation consisting of 5 sculptures-cabins, like a kind of primitive white cubes, these cabins have hosted works from different disciplines (comics, Costumes, Wigs, writing, plastic arts); it is a work around the exterior and interior of the artwork. Sculpture here is not only a volume, it is also a void ready to receive. While their facture recalls ancestral techniques of sculpture, their cubic forms evoke contemporary exhibition spaces. White and empty galleries supposed to allow the autonomy of the exhibited work of art. Conversely, an interdependence is created between the work and its support. Thus, the installation is at the same time a monumental sculpture and a series of pedestals and picture rails, a work of art, as much as the support of an exhibition / The approach also consists in transforming a personal invitation into a collective invitation, to open the fields of creation to other fields than that of the plastic arts. This posture, in fact, questions the curatorial approach and thus that of the fields of creation; a collaborative transdisciplinarity in short, which I always pursue in my work – Douglas , dimensions variables. 

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